Le représentant cubain Pablo Berti a exhorté le gouvernement américain à s'occuper mieux de prêter attention et contester les violations des droits de l'Homme commises chaque jour contre le peuple américain.
Berti a appelé Washington à retourner au pays caribéen le territoire illégalement occupé par la Base navale de Guantánamo.
Dans son centre de détention on inflige des tortures et les gens sont soumis à un processus juridique confus.
Le diplomate cubain a réitéré que son pays ne fera pas des concessions dans sa demande de mettre fin à la politique génocide de l'embargo économique, commercial et financier imposé par les États-Unis, a précisé un communiqué de presse diffusé par la Mission permanente de la plus grades des Antilles à Genève.
Il a de même refusé les critiques lancées par deux entités qui se font appeler non-gouvernementales, UN Watch et Freedom House, et qui ne sont que des «rouages de subversion contre des pays en voie de développement financés par le gouvernement des États-Unis et liés étroitement aux terroristes».