« Etre coté en bourse, c’est donner un prix à la vie ! L’eau ne peut pas être commercialisée, ne peut pas être dans des mains privées. L’accès à l’eau est un droit des peuples, » dit la déclaration.
En plus, le document appelle les peuples et les organisations de l’Abya Yala à empêcher l'impérialisme de privatiser cette ressource naturelle et à prendre leurs responsabilités en préservant la source de la vie « que nous ont laissée nos ancêtres et la Pachamama. »
Les participants à cette rencontre ont également émis une seconde déclaration qui condamne le blocus du Venezuela par les Etats-Unis et affirment « leur soutien au peuple, au Gouvernement du Venezuela et à son président Nicolás Maduro Moros. »
Ils ont également mis en évidence leur « ferme rejet des actes d’ingérence de n’importe quel Etat ou organisation dans les affaires intérieures du Venezuela. » Le peuple vénézuélien « a le droit de défendre sa souveraineté et sa libre auto-détermination, » conclut le document.
A cette rencontre ont été évoqués des sujets qui intéressent les peuples originaires comme la création d’entreprises communautaires, la préservation des pratiques ancestrales de production des aliments, la décolonisation de la production de biens et de services de l’économie et de la monnaie, l’adoption d’un Etat plurinational en tant que politique latino-américaine et sauvegarder l’utilisation de la médecins traditionnelle.
traduction Françoise Lopez pour Bolivar Infos