On a assigné à l'avion un terminal militaire, ce qui a été un prétexte pour interdire l'accès à la presse et pour qu'elle ne puisse pas couvrir le retour des Vénézuéliens, ce qui a touché directement les correspondants de Telesur.
Le changement d'aéroport a eu une autre conséquence qui devait être bien connue à Buenos Aires : la piste d'Ezeiza a 3 300 mètres de long, ce qui permet de décoller avec le réservoir de combustible plein et tous les passagers alors que la piste de Palomar, de 2 110 mètres, ne le permet pas. Cela a obligé à voler avec moins de combustible que prévu pour se rendre à Viru Viru, Bolivie, où une escale était prévue.