Au Congrès du Parti Socialiste Uni du Venezuela (PSUV), le Président a critiqué le fait que l'opposition vénézuélienne « travaille 24 heures sur 24 à une conspiration pour organiser des troubles politiques militaires pour attaquer le pouvoir et installer un Gouvernement de transition. »
Il a signalé qu'un secteur de l'opposition croit au dialogue et aux élections mais à la fin, un ordre arrive « du nord ou de Bogotá » où ils se sont réfugiés pour employer des méthodes qui, à son avis, sont des méthodes terroristes et putschistes.
Il a donné en exemple l'ex-député de droite Julio Borges qui « a pris le chemin de la fuite au lieu de prendre ses responsabilités politiques » et maintenant « gère les ressources du financement de l'extrême-droite internationale qui participe à toutes les conspirations. »
« Au Venezuela, il y a une opposition qui ne dialogue pas, non politique, non démocratique, » a noté le chef de l'Etat.
Il a assuré qu'au Venezuela, on ne connaît aucun dirigeant d'une coalition de partis qui travaille sincèrement par la voie démocratique pour devenir une alternative aux forces révolutionnaires.