Dans la recherche d'opportunités et de solutions régionales aux défis, l'Assemblée fera avancer les questions relatives à la sécurité régionale - économiques et autres; et le bien - être social des quelque 16 millions de personnes qui composent la Communauté desCaraïbes.
Comme prévu, les banques correspondantes sont parmi les principaux problèmes de l' ordre du jour avant la plus haute instance de prise de décision du groupement régional de 15 membres et des cinq pays associés.
La CARICOM, et même dans les pays de Caraïbes dansleur ensemble, sont préoccupés par cette question. Si toutes les relations de correspondances e bancaire sont enlevées la région sera isolée du reste du monde et sera incapable de mener à bien une partie de la plus élémentaire des transactions bancaires. Les services essentiels, y compris les transferts de fonds, le commerce international et la facilitation des établissements de cartes de crédit pour les clients locaux, entre autres services, seront affectés.
La genèse de ce problème réside dans le signal donné par plusieurs banques internationales, principalement aux États-Unis et en Europe, aux banques clientes dans la région d'un manque de volonté de continuer à exercer leur activité, dans le cadre d'une stratégie soi-intitulé «de-risque". Les Caraïbes a été étiqueté comme un paradis fiscal et accusé de blanchiment d'argent et le financement du terrorisme fiscales l malgré l'absence de preuves pour le prouver.
Lors de leur Réunion i à Belize, les chefs "ont souligné que les États membres se sont conformés à toutes les normes réglementaires mondiales, y compris celles qui sont établies par le Groupe d'action financière (GAFI) et le Forum mondial, et ont été examinés dans les moindres détails par le FMI et d'autres institutions multilatérales ". Ils ont jugé l'action par les banques correspondantes, "comme une agression économique» équivaut à un blocus économique contre les États membres.
Mais la CARICOM se défend. Grâce à la puissance du collectif, ils ont nommé un groupe de défense de haut niveau, dirigée par le Premier Ministre d'Antigua - et - Barbuda, l' hon. Gastown Browne, pour représenter les intérêts de la région dans la question, y compris les approches de l'ONU, l'OMC et le gouvernement des États - Unis.
La réunion fera le bilan des actions à ce jour, et chercheraà faire avancer la recherche de solutions à cette question.