Selon cette version, attribuée à des sources anonymes citées dans un rapport publié il y a quelques jours, des responsables cubains auraient envisagé d’intervenir contre M. Maduro si celui‑ci tentait de quitter le pouvoir sous la pression internationale. Ces affirmations, relayées notamment par des sites et des comptes sur les réseaux sociaux, ont ensuite été reprises par certains médias comme un élément de contexte dans l’analyse de la situation politique vénézuélienne.

Cependant, cette hypothèse n’a pas été étayée par des éléments indépendants de vérification. Les déclarations initiales reposaient sur des témoignages non identifiés, ce qui rend difficile d’en confirmer l’authenticité. Des observateurs ont souligné que de telles allégations peuvent circuler sans preuves solides, surtout dans un contexte de tensions politiques et diplomatiques accrues autour du Venezuela.

Des médias factuels et agences de presse internationales apportent un éclairage différent, notant que des déclarations officielles de responsables cubains ont récemment nié avoir engagé des discussions ou des actions spécifiques liées à l’avenir politique du Venezuela, qualifiant certaines spéculations de « fausses » ou « infondées ».

Cette affaire intervient dans un climat régional marqué par des relations tendues entre Caracas et Washington, où le gouvernement des États‑Unis a intensifié ses mesures contre ce qu’il décrit comme des activités illicites liées au Venezuela, tout en continuant de désigner certaines entités vénézuéliennes comme organisations terroristes.