Le QR code s’impose en Guadeloupe : innovation, paiement, sécurité… Décryptage d’une technologie en pleine évolution.

La diversité au sein d’une équipe est une force ! Découvrez comment certaines entreprises en Guadeloupe en font un moteur de réussite.

Un atelier d’écriture unique en Guadeloupe où des femmes ont partagé émotions, rires et confidences. Retour sur l’événement initié par Joelle Damas.

Le carnaval en Guadeloupe, entre liberté et respect : comment les femmes réaffirment leur souveraineté et redéfinissent le consentement.

Découvrez le FIFAG 2025, le 1er Festival Itinérant de Films Animés en Guadeloupe ! 12 films inédits pour sensibiliser à l’environnement et créer du lien intergénérationnel.

Aujourd’hui, les discussions doivent reprendre en les contextualisant. Il ressort comme impérieux, à la veille de l’entame de la dernière année de ce quart du 21ème siècle, de les conduire en tenant compte des évolutions qu’a connues la société guadeloupéenne et le monde

Il est de bon ton, à la fin d’une année, de dresser un bilan : prendre du recul, évaluer le travail accompli, tracer des perspectives et corriger les erreurs pour l’avenir. Mais en Martinique, 2024 a laissé un goût amer, marqué par des crises sociales alimentées par des pesanteurs historiques et structurelles , des violences exacerbées et une gestion chaotique du territoire.

Fin d’année et debut d’année riment le plus souvent avec réconfort, famille, amitié. Mais, doit-on être surpris, le président Macron et ses sujets en ont décidé autrement. J’écris ces premières lignes en dehors de toute analyse. C’est plus le désespoir et la stupéfaction qui parlent. Comment en sommes-nous arrivés là ?

Le smartphone s’est glissé dans les foyers guadeloupéens comme un compagnon indispensable. Pourtant, cet outil, censé rapprocher, est devenu un facteur de disputes, d’indifférence et de désunion. Que ce soit autour de la table, dans les chambres ou lors de moments de partage, il s’impose comme un « meilleur ennemi ».

Petit Bourg. Mercredi 15 janvier 2025.CCN. Le mouvement anticolonialiste guadeloupéen est dans un « kat chimen ». Si ce n’est pas un « kat chimen » admettons au moins qu’il connaît une période de stagnation, chargée d’interrogations, de questionnements essentiels à sa survie d’abord et à son redéploiement ensuite.