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Il s’agit d’un conte qui met en scène des éleveurs guadeloupéens de bœufs, de porcs et de cabris, afin de mettre en valeur les races créoles, dans le but de contribuer à leur conservation, à leur développement, à leur production et à leur consommation. Les principaux protagonistes sont deux familles et leurs trois garçons. Mais les vrais héros de ce conte, ce sont les animaux, en l’occurrence les bœufs, les cochons et les cabris. Les parents et les grands-parents jouent un rôle de premier plan, certes, car ce sont leurs exploitations et leur progéniture qu’ils impliquent fortement dans leurs activités professionnelles, à la fois pour la transmission de leur savoir et de leur savoir-vivre. Les techniciens de l’INRAE et les professionnels de la filière ne sont pas en reste, car l’activité d’élevage et la production de la viande qui en découle sont des métiers exigeants, heureusement soutenus par ces chercheurs et ces techniciens de l’INRAE. Comme précisée ci-dessus, il s’agit d’une commande de l’Iguavie et de l’interprofession de la viande, commande à visée pédagogique clairement exprimée dans le contrat : dans un premier temps, le conte doit mettre en valeur les races locales bovine, porcine et caprine dite “races créoles“ à travers leurs caractéristiques physiques et biologiques, ainsi que leur capacités à s’adapter à notre climat et à notre environnement ; dans un second temps, il doit mettre l’accent sur le travail des techniciens de la filière auprès des éleveurs, travail qui vise à améliorer les dites races et leur rendement. Le tout à travers une histoire fictive nourrie d’éléments cognitives techniques et scientifiques qui participent de la pédagogie de ce projet : faire découvrir ou redécouvrir les races locales, les mettre en avant dans nos pratiques culinaires, et réapprendre à aimer ces viandes, en leur accordant plus de place dans notre consommation quotidienne, personnelle, familiale, professionnelle ou collective. Nous aurons donc sous les yeux une histoire qui oppose apparemment les deux familles en question : l’une, ne croyant pas aux races locales, élève des animaux venus d’ailleurs, tandis que l’autre investit dans les races créoles, et ne veut avoir affaire en aucune façon aux races importées. Les relations entre ces deux familles permettront-elles de faire évoluer les uns ou les autres ? Les personnages sauront-ils mettre en valeur les qualités extraordinaires des races locales ? L’ouvrage est publié par M. M’BITAKO. Le format choisi est A5 (14,8 x 21 cm) en orientation “Paysage“, afin de donner un meilleur aperçu aux illustrations de M. Martin BIABIANY. (Il y en a au total une vingtaine. M. BIABIANY a aussi réalisé l’illustration de couverture). L’ouvrage comprend 64 pages. Il est vendu au prix unique de 8 €. La couverture a été réalisée par Gravure Design’. La mise en page et la maquette intérieure ont été faites par M. M’BITAKO. La conception et la création de ce conte ont donc été possibles grâce à la collaboration d’un certain nombre de techniciens et de professionnels de l’élevage et de la viande, de l’INRAE (site de Petit-Bourg et site de Gardel), de la Chambre d’Agriculture, de Sélection Créole, du Lycée Agricole... Ils ont tous été à la disposition de M. M’BITAKO afin de lui présenter leur travail dans les détails et leurs aspects techniques, ainsi qu’à l’aimable assistance de Monsieur Joël KICHENIN (“Expert culinaire“) qui a bien voulu recevoir l’auteur et répondre à toutes ses questions concernant les approches culinaires des viandes créoles (bœufs, porcs et cabris) en Guadeloupe. Guadeloupe. Economie. Quel sera l'impact chez nous de la crise actuelle des finances publiques en France?
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